Cet incendie avait fait l’effet d’un véritable coup de tonnerre dans la station « chic et glamour » des Alpes françaises : deux saisonniers étaient décédés, une vingtaine blessés et l’immeuble appartenait à une personnalité hôtelière bien connue sur la station.
À côté du drame humain, cet acte criminel permit de lever « l’omerta » sur une réalité sociale moins « glamour », les conditions de logement des saisonniers.
Plusieurs infractions furent relevées (défaut d’entretien et de sécurité des bâtiments d’habitation et hébergement de travailleurs dans un local non conforme) et portées à l’encontre du propriétaire.
Le suspect qui avait été libéré en avril 2021 en raison d’un « vice de procédure » a finalement été interpellé en Espagne. (…) Lire la suite sur 20 Minutes