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Ce phénomène résonne particulièrement chez la génération Z et les millenials, dont le rapport au travail a changé comparé aux générations précédentes, remettant en cause la « hustle culture » (culture de la productivité toxique) qui faisait du surmenage un standard de performance comme rapporté par le site FocusRH.  Rappelons-nous ces chefs de service qui conditionnaient notre évolution de carrière au temps de présence et les spécialistes du vent !

Comme le rapporte le site « Business cool », voilà les préconisations d’un abonné Tik-Tok pour un bon « quiet quitting » : “Vous remplissez toujours vos fonctions, mais vous ne souscrivez plus à la mentalité consistant à se démener pour le boulot, qui dit que le travail doit être votre vie. La réalité, c’est que ça ne l’est pas, et votre valeur en tant que personne n’est pas définie par votre travail […] Arrêtons de nous tuer à la tâche, de cautionner la hustle culture (la culture du burn-out), le travail n’est pas votre vie et votre valeur n’est pas indexée à votre productivité.

Dans un établissement hôtelier ou un restaurant, cela peut se traduire par une baisse de la productivité, une baisse de l’investissement émotionnel par rapport au client (manque de chaleur dans l’accueil client, indifférence, dédain, Check-in incomplets, micro-retards difficilement sanctionnables, discours commercial absent…) Cependant, la grande difficulté est d’apprécier le caractère fautif de tels comportements.

La plupart du temps l’employeur ne peut que constater sans agir. Après la grève du zèle, c’est donc la grève de la flemme !

La seule alternative de l’employeur est de tenter de comprendre les ressorts de cette démotivation.Pour certains psychologues d’entreprise, cette situation est liée directement à la période Covid et n’est que transitoire et  éphémère. Un peu de lumière au bout du tunnel.

 

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