Ce village de 800 habitants, situé dans le Nord, sur les escarpements spectaculaires du « Grand Canyon » d’Oman, a ouvert ses rues étroites il y a six ans aux visiteurs en quête d’aventure dans les déserts et étendues vertes du sultanat du Golfe.
Yacoub Al-Abri, un habitant du village d’une quarantaine d’années, raconte que tout a commencé en 2010 lorsque son oncle a suggéré de porter un nouveau regard sur les maisons en terre du village, négligées pendant des années et à environ trois heures de route de la capitale Mascate.
Les propriétaires avaient abandonné ces maisons séculaires, craignant qu’elles ne s’effondrent, pour s’installer de l’autre côté du village où ils ont construit de nouveaux logements. (…) Lire la suite sur Capital