Le principe édicté par la municipalité est le suivant :plus la terrasse du restaurant, café ou bar est grande, plus les patrons devront payer.
L’augmentation devrait être en moyenne de 15% mais, pour les plus grandes, cela pourra atteindre… 30% !
Géraud Bonnet, Vice-président de l’Umih du Bas-Rhin, a répondu aux questions du journaliste de France 3,
FG : Vous comprenez malgré tout la nécessité de revoir le cadre d’exploitation des terrasses qui ont fleuri ces dernières années à Strasbourg ? Il fallait quand même faire évoluer les textes ?
GB : « Tout à fait ! (…)Par contre, ce que nous dénonçons, c’est la brutalité de ces hausses qui représentent, je le répète, pour certaines terrasses jusqu’à 30% en une année. Je rappelle qu’on est dans un contexte inflationniste actuellement. Ajoutez à ça les frais de stationnement qui impactent aussi également lourdement notre activité. »
Qu’est-ce que vous attendez de la municipalité de Strasbourg ?
« (…) Donc ce que nous souhaitons, c’est d’abord un moratoire sur cette nouvelle grille tarifaire de stationnement et l’ouverture d’une réelle concertation sur ces conditions de stationnement avec l’ensemble des acteurs économiques. »
