« Jusqu’en 2020 et l’apparition de l’épidémie de Covid, les étrangers constituaient 60 à 70 % de notre clientèle en saison, avec une grande majorité d’Américains du Nord, devant les Européens, les Asiatiques et les Sud-Américains. Et ces dernières années, nous recevions beaucoup de touristes des pays de l’Est, Estoniens, Ukrainiens… », indique Pascal Brault, le directeur.
Manque à gagner avec la perte de la clientèle étrangère
« La saison dernière, la part des clients étrangers est tombée à moins de 10 %, dont essentiellement des Belges et des Suisses. Actuellement, nous sommes remontés à 30 % de clientèle étrangère. Peu à peu les États-Unis reviennent, mais la plupart de nos clients étrangers proviennent encore des Pays-Bas, du Royaume-Uni, d’Allemagne, de Belgique, de Suisse. On ne voit plus du tout les Asiatiques qui voyagent beaucoup en groupes, sauf ceux qui résident en Europe et qui visitent les châteaux de la Loire en individuels. »
La perte de la clientèle étrangère signifie un manque à gagner pour l’industrie hôtelière française en général. À Artigny, le directeur nuance le propos : (…) Lire la suite sur La Nouvelle République