Les pourboires représentent une part importante de la rémunération dans les métiers de salle et de cuisine, et leur fiscalisation avait été vivement critiquée par les professionnels. L’Umih avait alerté sur le risque de créer une « taxe sourire », soulignant que ces gratifications constituent avant tout une reconnaissance du service.
Pour les professionnels du secteur, « cette décision constitue un levier concret de valorisation des métiers et de fidélisation des équipes, tout en soutenant le pouvoir d’achat. » La mesure reste toutefois soumise à la validation définitive du Sénat avant d’entrer en application.





