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Réouverture, Paris | Hôtel Astra**** (Astotel), une renaissance spectaculaire !

La Tribune de l'Hôtellerie vous invite à découvrir l'hôtel Astra qui vient de faire son retour sur le devant de la scène parisienne après 3 ans de travaux. Premier hôtel acquis par le groupe, sa rénovation est à la hauteur du symbole : une véritable renaissance et surtout, une réussite à la hauteur de la ville lumière !

Hôtel Astra Paris, Espace wellness et piscine intérieure
Un espace wellness et une piscine intérieure En plus d’offrir l’originalité d’un séjour immersif avec des chambres aux univers forts (dont 12 familiales), l’hôtel Astra**** avait à cœur de pousser plus loin l’expérience d’un séjour urbain sans compromis. Indispensable au cœur de la ville, le besoin de marquer une pause physique, holistique et de se retrouver autour des bienfaits de l’eau et de rituels trouvait tout son sens pour ce havre pensé comme une maison de famille au milieu de l’agitation des quartiers d’affaires et de spectacles. Après trois ans de travaux colossaux, c’est donc une partie toute entière du sous-sol qui se transforme en refuge de bien-être, avec une piscine de 4X10 mètres et sa « plage » équipée de transats. Une salle de fitness, un sauna et un hammam viennent compléter cette capsule dédiée à la déconnexion et au ressourcement.

Emblématique du quartier des théâtres et des spectacles, l’hôtel Astra**** renaît après trois ans de travaux. Il cultive toujours l’esprit de famille et le monde des étoiles, mais cette fois à travers quatre univers créatifs et célestes signés de l’architecte Philippe Maidenberg.

« On ne fait bien que ce qui nous touche, on réussit dans ce qui nous ressemble » Serge Cachan, Astotel

Philippe Maidenberg -DreamersLounge - Petite
Philippe Maidenberg -DreamersLounge – Petite

Quatre personnalités, quatre univers qui tutoient les étoiles.

Familier des collaborations hôtelières avec les artistes qui incarnent le caractère créatif et bouillonnant de la capitale, Philippe Maidenberg avait à cœur de rendre cette fois hommage à quatre étoiles… Quatre personnalités dont le talent n’a d’égal que l’admiration qu’ils suscitent. Des carrières bien distinctes, et pour chacun une trajectoire à la vitesse des étoiles.

A chaque hommage, un ou deux étages… et plusieurs chambres qui viennent plonger les hôtes dans un univers singulier. Si les fidèles partagent déjà leur préférence dès la réservation, pour les autres c’est une surprise. Celle d’un séjour incarné, d’une immersion parisienne singulière mais qui ne sacrifie rien au confort et exigences qui font la signature de cette adresse 4 étoiles.

« Pour chaque hôtel, j’aime raconter une histoire. Créer un ou plusieurs univers, c’est rendre la balade amusante. De la réception aux pieds du lit, on ne doit jamais s’ennuyer… c’est ce que l’on vient aussi chercher quand on séjourne à Paris : on accepte de se laisser surprendre, gagner par l’un des scénarios qui caractérisent cette ville d’art, de culture et de bouillonnement intellectuel » – Philippe Maidenberg

Quatre étoiles, Quatre univers

Daniel Auteuil, l’étoile du cinéma

Acteur de cinéma et de théâtre, réalisateur et chanteur, cette personnalité forte fait partie de la mémoire collective, du patrimoine culturel français et c’est en clin d’œil à l’un de ses films, que Philippe Maidenberg a travaillé sur « l’envers du décor ».

Autrement dit, sur une chambre à l’esthétique volontairement brute, articulée principalement autour d’une pièce maîtresse de la chambre : un panneau de bois blond en guise de tête de lit, plus travaillé pour apporter de la sophistication mais fidèle à ceux qui tapissent les coulisses d’un tournage. Le bureau rappelle les flight case, et c’est à peine si quelques photos de ses films viennent troubler l’allure graphique et plus masculine des chambres des 2e et 5e étage.

Marie – Agnès Gillot, danseuse étoile

Au 7e ciel de l’hôtel, dernier étage avant les nuages, les 4 chambres dédiées à cette étoile de l’Opéra de Paris sont certainement les plus douces. Empreintes d’une poésie et d’une lumière toutes particulières. Comme la salle de danse de l’institution, chaque clé ici balaie du regard les toits de Paris et les plus beaux monuments…

Au sol, un parquet sombre rappelle la scène des ballets nationaux, un immense bas-relief immortalise les pas de Marie-Agnès Gillot venue faire ses empreintes avant l’ouverture, et tandis que ses demi-pointes sont suspendues d’un côté du mur, des miroirs ornés d’une barre de danse viennent refléter la lumière et agrandir l’espace. Un peu partout, les touches de rose poudré viennent apporter douceur, jusque sur les zelliges de la salle de bain.

Claudie Haigneré, astronaute, scientifique et femme politique

Avec l’hommage à l’une des rares femmes astronautes françaises, ce sont les rêves de gosse que convoque cette fois l’architecte. Pas d’outil savant mais une chambre immaculée qui rappelle le dépouillement d’une capsule et d’emblée, un miroir à l’infini au-dessus du lit.

Comme le hublot qui offre depuis la station spatiale une profondeur de champ sur la galaxie. Élégante, impliquée, la scientifique multi-diplômée a choisi elle-même l’exacte nuance du bleu du ciel sur le tapis. Et parce que la vision du premier pas sur la lune de Neil Armstrong a scellé à jamais sa destinée, Philippe Maidenberg l’a immortalisé sur la table basse tandis que la chambre 300 dévoile une bulle en plexi où se blottir suspendu.

Famille Bouglione, la piste aux étoiles

Au monde de la performance, du joyeux et de l’émerveillement, cette famille emblématique du cirque ajoute les valeurs de transmission et d’unité autour d’un art populaire. Des valeurs fortes qui font écho à celle de la famille Cachan et de tout un groupe hôtelier.

Le cirque Bouglione, c’est la piste aux étoiles ! Il n’en fallait pas moins qu’une entrée des artistes en guise de ciel de lit spectaculaire. A cet habillage en velours molletonné et galon or s’ajoutent un tapis rouge et bleu, des chevets singeant le piédestal des éléphants, tandis que des balançoires viennent théâtraliser encore un peu plus certaines chambres…

Astotel, une histoire de famille

Si Serge Cachan se défend d’incarner un hôtel familial avec l’hôtel Astra**** – l’hôtel historique, tout premier d’une lignée de 17 établissements parisiens – il ne boude pas la fierté qu’il a de perpétuer avec ses deux frères, une histoire de famille inaugurée en 1962 par un père visionnaire. Industriel et résidant en Touraine, celui-ci décèle l’essor du tourisme urbain et y voit alors l’occasion de s’offrir un pied-à-terre pour ses déplacements dans la capitale.Si Georges, l’ainé, intègre l’entreprise en1967, Serge qui termine ses études à HEC perçoit immédiatement le potentiel de développement d’un groupe hôtelier et s’investit dans le projet dès 1971. Rejoint en 1976, par Jean-Pierre, le cadet de la fratrie. En 2001, Astotel compte 10 établissements et en 2024, Thomas et Jonathan incarnent la troisième génération de cette success story hôtelière parisienne et 100% « rive droite ».

Communiqué de presse intégral