- Publicité Top Ad -

Que de chemin parcouru pour l’empereur de la crêpe depuis son diplôme obtenu à l’école hôtelière de Dinard en 1985 !  De Fougères à Tokyo en passant par Cancale, Paris… difficile de suivre cet hyperactif qui surfe entre ses Breizh Café, l’Atelier de la Crêpe et son restaurant gastronomique La Table Breizh Café.

Bertrand Larcher @ credit linkedin

Aujourd’hui c’est donc un nouveau défi que se lance Bertrand Larcher en s’attaquant à…l’hôtellerie. Il vient en effet d’acheter l’hôtel Aubade de Saint-Malo. À suivre.

Bertrand Larcher  linkedin

« Après un long détour, j’ai retrouvé mon pays d’origine à Tokyo. En découvrant l’immense culture gastronomique japonaise, à la fois populaire et raffinée, j’ai eu l’idée d’y présenter la cuisine traditionnelle de ma région, en particulier la galette de sarrasin et le cidre.

J’ai inauguré ma première crêperie Le Bretagne en 1996 à Tokyo. Elle a rencontré très tôt un public, qui me suit toujours. Fort de ces encouragements j’en ai ouvertes d’autres au Japon puis… en France, cette fois avec l’enseigne “Breizh Café” : d’abord en 2005 à Cancale dans la baie du Mont St Michel, suivie par cinq autres au Japon et plus tard à Saint-Malo et Paris. Notre credo : « La Crêpe autrement », soit les meilleurs ingrédients locaux (notamment les produits de la mer et le sarrasin), travaillés localement, dans des menus variés.

En 2010, j’ouvre à Cancale un restaurant gastronomique japonais, La Table de Breizh Café. Aujourd’hui étoilé Michelin, le chef Raphaël-Fumio Kudaka manie avec subtilité les produits bretons au service des recettes traditionnelles japonaises.

Nous avons toujours faim.

En 2018 j’ai amarré l’Atelier de la Crêpe au port de Saint-Malo, quai Duguay-Trouin, au cœur de la ville. Une école internationale du métier de crêpier est adaptée à toutes les ambitions, de l’amateur au professionnel. Des formations continues qualifiantes y sont proposées comme le CQP Crêpier en 6 semaines.

Dernier rêve : une ferme écologique. On y cultive le sarrasin, on y récolte des fruits (3000 arbres fruitiers, essentiellement des pommiers sont en terre).

Ces initiatives ont en commun la fidélité à nos terroirs, à ceux et celles qui les préservent. Ils accompagnant le mouvement mondial de reconnaissance de ces patrimoines, de leur valeur économique et inestimable. »

- Publicité 4 -