À titre d’exemple, il manque entre 40 et 50 employés pour faire fonctionner à plein régime les trois hôtels dont Jean-François Côté est propriétaire à Québec, à Victoriaville et à Rouyn-Noranda. Il a besoin de personnel partout, autant à l’accueil qu’à l’entretien ménager.
« Ça fait 20 ans que je suis dans cette industrie, et je n’avais jamais vu ça », lance l’hôtelier.
En conséquence, M. Côté croit devoir limiter son taux d’occupation à 70 %, alors qu’il peut atteindre 98 % lors d’un bon été. Si plusieurs autres hôtels font la même chose, la diminution du nombre de chambres disponibles pourrait avoir des répercussions sur la fréquentation des musées, des restaurants et des autres attractions touristiques. (…) Lire la suite Le Devoir