37% des actifs proches du « quiet quitting »
En nette progression, le sentiment qu’ont les salariés de donner plus qu’ils ne reçoivent de leur travail nourrit le phénomène du « quiet quitting ».
Nous avons repris ci-après les graphiques proposés par Les Makers mais pour plus d’informations, consultez l’intégralité de l’enquête en cliquant ici
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Plus d’un tiers des actifs français (37%) adhèrent plus ou moins à la définition du « quiet quitting »
en restant stricto sensu dans le cadre de leur contrat de travail, refusant les heures supplémentaires et d’éventuelles tâches qui ne relèveraient pas de leur mission.
Près de la moitié (45%) des personnes interrogées, dont 14% disent être tout à fait d’accord avec l’affirmation, ne se rendent au travail que pour le salaire qu’elles en retirent.
Un chiffre en nette augmentation puisqu’en 1993, ils n’étaient qu’un tiers (33%) à indiquer que l’argent était leur principale motivation.
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