Rebondir. Après une période très difficile pour Flunch, qui a dû fermer une cinquantaine de restaurants sur tout le territoire ces derniers mois, son patron veut redonner du souffle à la chaîne de restauration familiale.
Dans une interview au Parisien , Baptiste Bayart indique sa méthode pour rentabiliser à nouveau le groupe, qui n’a pas su se moderniser. «Pendant très longtemps, le concept n’a quasiment pas évolué. Or, le plateau un peu tristounet, le repas mangé tiède dans un décor vieillot, c’est fini», précise ce jeune PDG de 42 ans. Avec une ligne directrice : «Transformer cette enseigne qui s’était paupérisée en une enseigne populaire, au sens noble du terme.»