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Le nombre de travailleurs licenciés n’a pas été précisé pour le moment, un porte parole de l’établissement a affirmé que ces derniers seront accompagnés dans leurs recherches pour trouver un nouvel emploi

« L’hôtel Hilton n’est pas seulement une affaire de tourisme, c’est aussi l’histoire de Nairobi. En fait, quand vous voyez Nairobi sans la photo de l’hôtel Hilton, sans le KICC, les bâtiments du parlement, ce n’est pas Nairobi. » s’est confié Moses Otieno, résident de Nairobi.

Hilton Hotels, dont 40,57 % des parts sont détenues par le gouvernement, n’abandonne cependant pas complètement le Kenya, mais continuera à exploiter ses autres marques dans le pays.

Outre les problèmes de trésorerie, Steve Milimo ajoute que l’exploitation de grands hôtels dans le quartier central des affaires est difficile : « Je ne pense pas que cela ait beaucoup à voir avec la crise que traverse le secteur de l’hôtellerie, mais plutôt avec la tendance actuelle du marché. Parce que si on regarde comment était le quartier central des affaires de Nairobi et comment il est maintenant, on peut dire honnêtement que ce n’est pas très favorable pour les grands hôtels. »

L’industrie hôtelière a été durement touchée par la pandémie de Covid-19 et pour rester à flot, les hôtels et les restaurants ont adopté de nouvelles stratégies, comme l’ont fait les restaurants d’Asmara. (…) Lire la suite sur Africa News

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