Les trois hôtels en « off-market » sont le Schweizerhof à Berne, le Bürgenstock sur les rives du lac des Quatre-Cantons et le Royal Savoy à Lausanne soit une valorisation estimée pour l’ensemble à 1,7 milliards d’euros, au plus haut.
Ce désamour pour ces actifs est une des conséquences, selon les observateurs, du manque de rentabilité de l’hôtellerie de luxe suisse et, dernier élément en date, de la perte abyssale constatée par le Qatar avec Crédit Suisse.