Révélé par L’Echo, site économique belge, « (…) un mauvais timing (le premier Pitaya a ouvert en septembre 2020 à Bruxelles, en pleine crise sanitaire), l’hyperinflation entraînée par la guerre en Ukraine et des prix d’installation plus élevés que prévu ont plongé le volet belge de Pitaya dans les difficultés » ont transformé la success story française en un naufrage bénéluxois. !
La mise en réorganisation judiciaire (PRJ) équivalent de » la mise en redressement judiciaire français’ auprès du tribunal de l’Entreprise démarrée il y a deux mois s’est donc conclue par constat d’échec.