Ce ne sont pas des fermetures administratives mais des fermetures faute de clients qui, les mois passant, mettent l’hôtellerie parisienne à genoux. « Nous finissons l’année sur une baisse des visiteurs, touristes et voyageurs d’affaires, de l’ordre de 75 % », indique Corinne Menegaux, directrice générale de l’Office du tourisme et des congrès de Paris. Résultat : « Les grands groupes du secteur anticipent des plans de licenciements et parlent de suppression de plus 20 % de leur masse salariale à Paris, d’ici au mois de mars », pointe un professionnel pour faire prendre la mesure de la catastrophe à venir.
Le millier d’établissements familiaux ou indépendants représentent…Lire la suie sur lesechos.fr