Des infrastructures vieillissantes, des prix élevés ou encore ce serveur qui refusera d’amener une carafe d’eau. Les Suisses ne sont jamais à court de critiques sur la qualité d’une offre touristique qu’ils ont, pour beaucoup, redécouverte, la situation sanitaire les obligeant à rester au pays. Ces griefs, Andreas Züllig les connaît bien. Il les accueille sans sourciller et y répond dans l’un des salons de l’Hôtel Schweizerhof, qu’il dirige depuis plus de 25 ans dans les Grisons.

Depuis bientôt un an et demi, le président d’HotellerieSuisse est au front pour défendre les intérêts d’un secteur placé en mode survie. Après avoir paré au plus urgent, l’hôtelier commence à préparer l’après-pandémie. Une période qu’il aborde avec confiance, identifiant notamment un potentiel de séduction énorme pour les villes suisses. (…) Article complet sur Le Temps (à partir de 1 euros)