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En retenant «que l’installation, même à titre temporaire», des biens mobiliers (transats, parasols et ponton non démontable) sur la plage était constitutive d’une occupation privative du domaine public maritime par la société, le juge des référés du tribunal administratif de Bastia «s’est livré à une appréciation souveraine des faits» et «n’a pas commis d’erreur de droit», estime le conseil d’Etat dans une décision consultée par l’AFP. Le juge des référés «n’a pas commis d’erreur de droit» en justifiant l’urgence à ordonner l’enlèvement du ponton non démontable implanté par la société hôtelière d’exploitation de la Presqu’île (SHEP), propriétaire de l’hôtel cinq étoiles La Plage Casadelmar qui surplombe la baie de Porto-Vecchio

Deux refus par le préfet de Corse-du-Sud (…) Lire la suite sur Le Figaro

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