La polémique est partie du tweet d’Élodie Schwander, assistante parlementaire, qui a consulté les tarifs pratiqués par le IBIS Strasbourg Centre Petite France avec 3 nuits facturées pour 1497 euros !
Quand tu dois réserver un hôtel pour la prochaine session à Strasbourg et que certains hôteliers confondent leurs chambres avec des palaces et pensent que les gens ont tous gagné au loto !!! pic.twitter.com/am3JzLfDc3
— Elodie JAMMOT SCHWANDER (@eschwander) June 16, 2022
La polémique a donc ravivé le vieux débat sur la pertinence de deux lieux de travail du parlement européen, Strasbourg et Bruxelles (trois sites en réalité, avec le secrétariat général établi à Luxembourg), et sur les va-et-vient engendrés. Rappelons que l’activité du parlement européen représente 15% du CA annuel des hôtels.
À nos yeux, l’hôtelier n’est pas coupable d’optimiser ses revenus. C’est plutôt la gestion du Parlement qui est surprenante : comment une telle assemblée, disposant d’énormes leviers de négociation, ne dispose d’aucun organisme interne négociant (comme jadis les « implants ») à l’année des allotements… (…) Lire l’article source sur La Tribune (réservé abonnés)