« Dire que ça va mal, c’est un euphémisme. Ça va excessivement mal. Comment peut-on tenir des établissements hôteliers comme à Montréal ou à Québec, avec des taux d’occupation depuis le mois de mars allant de 10 à 20 %, mais des frais fixes énormes ? » se questionne Xavier Gret, président-directeur général de l’Association hôtellerie Québec (AHQ).
Presque vide
Dans l’instauration du couvre-feu, les taux d’occupation ont encore chuté et avoisinent maintenant les 5 à 10 % dans les hôtels.
Actuellement, plus de la moitié des 40 000 employés du secteur sont sans emploi, estime l’AHQ.
Malgré tout, il faut que les hôtels continuent de respecter les mesures, martèle M. Gret, qui espère vraiment un retour à la normale avant l’été.
« C’est extrêmement difficile et les nouvelles mesures ont évidemment un impact direct sur les établissements […] N’empêche, on demande de faire l’effort, parce que ça va nous permettre de mieux repartir par la suite », répète-t-il.
Contrôle strict
L’Association souligne Lire la suite sur LeJournaldeMontreal.com