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Le temps n’a pas nui à sa splendide localisation ni à son confort cinq étoiles, suites en abondance.

Voici le joyau hôtelier de l’île verdoyante, bien préservé des aléas du temps. Le bâtiment tout en longueur, un seul étage, se fond dans le paysage côtier du village de Grand Baie. Le Royal Palm emploie 300 personnes, un concierge et un excellent cuisinier français, William Girard, enfant de Bayonne, pour trois restaurants, dont un italien traditionnel (La Brezza), et ce depuis l’ouverture et le succès en forme de plébiscite de l’hôtel niché dans les arbres.Pour l’heure, la gastronomie franco-mauricienne d’un beau raffinement a bien intégré les goûts, les façons de faire et les secrets de la cuisine marine.

Le chef actuel, venu du Barthélemy à Saint-Barth, est un vrai sorcier de la soupe de poissons, de la bouillabaisse locale (sur commande) et du petit salé de la mer. William Girard officie le soir à La Goélette, une terrasse sur la mer, et à midi au Bar Plage, face à l’horizon marin. Tous les clients de l’hôtel sont des abonnés réguliers de ces deux restaurants élégants. (…) Lire la suite sur Slate

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