Les autorités judiciaires soupçonnent Jean-Christophe Bouissou, ancien vice-président de Polynésie et alors ministre du tourisme, accusé d’avoir promu ce projet en contrepartie d’importantes sommes : trois millions par mois sur la base d’un accord conventionnel avec l’homme d’affaires Dominique Auroy.
Les deux hommes seront entendus par les juges du Tribunal correctionnel le 14 novembre.