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(…) « L’activité s’avère catastrophique pour l’ensemble des hôteliers », estime l’organisation professionnelle. « Depuis les annonces gouvernementales début décembre restreignant les déplacements professionnels, (obligation du télétravail, annulation des séminaires/congrès), l’activité est quasiment à l’arrêt », insiste le club. Quant à Nathalie Busson, récemment réélue à la présidence du Club Hôtelier d’Angers, elle estime que « l’annulation des salons tels que le Sival (salon des productions végétales reporté du 15 au 17 mars 2022) ou le salon des vins, enfonce le clou d’un début d’année dramatique pour nos hôtels ».

Tenir jusqu’au printemps

« La profession est très inquiète car la perte de chiffre d’affaires est très importante avec des aides au minimum. Nous sommes en train d’épuiser nos trésoreries et nous n’envisageons pas d’embellie avant le printemps prochain », renchérit Thomas Couet, directeur du 21 Foch, hôtel emblématique du centre d’Angers. « Si la branche n’est pas soutenue cela risque d’avoir des conséquences désastreuses et des effets collatéraux dommageables (défaillances d’entreprises, perte de compétences, difficultés à recruter, etc.) », s’inquiètent les hôteliers angevins décrivant « l’une des pires crises » jamais rencontrée par leur profession. (…) Lire la suite sur Les Echos

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