Nouvelle-Zélande | Dans cet hôtel insolite, on peut dormir dans un avion, un bateau, un wagon ou une maison de Hobbit
À deux pas des grottes de Waitomo, en Nouvelle-Zélande, se trouve un hôtel très particulier où les hôtes ont la possibilité de dormir dans un avion, un navire, un wagon ou une maison dans l’esprit « Hobbits ». Bienvenue à Woodlyn Park, pour le quatrième volet de notre série sur les lieux extraordinaires !
En attendant les propositions spatiales, les amateurs de nuits pas comme les autres ont de plus en plus de points de chute sur la planète Terre. Il en est un tout à fait particulier à Woodlyn Park, en Nouvelle-Zélande, sur l’Île du Nord. Le site ne propose pas un seul type d’hébergement atypique mais quatre ! À vous de choisir si vous préférez dormir dans un avion de la guerre du Vietnam démobilisé, dans un vieux bateau militaire de la Seconde Guerre mondiale sauvé des eaux, dans un antique wagon des premières heures du chemin de fer ou dans des logis aux allures de petites maisons de Hobbits, creusées dans la colline.
Woodlyn Park
Woodlyn Park
Woodlyn Park
Woodlyn Park
Tout près des grottes des vers luisants !
Avant de choisir notre chambre, prenons le temps d’explorer les environs. Car le Woodlyn Park ne se trouve pas au milieu de nulle part, mais à seulement deux minutes d’un des joyaux naturels de la Nouvelle-Zélande : les grottes de Waitomo.
Il y a trois ensembles de grottes, nommées Glowworm Caves (les grottes des vers luisants), Ruakuri Cave et Aranui Cave. Chacune a sa spécificité. La première – la plus célèbre des trois – est fréquentée par les touristes depuis 130 ans. Il faut dire qu’elle vaut le déplacement ! Après une promenade dans ses cavités et ses passages sculptés par les éléments au fil des siècles, les visiteurs pénètrent dans une immense « salle » appelée « la cathédrale ». Ensuite, ils pourront glisser tranquillement, et en silence, sur une rivière souterraine entre les stalactites et les stalagmites, sous une voûte illuminée par les postérieurs de milliers de vers luisants !(…) Lire la suite sur Ouest France
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