Certes, le plat n’est pas forcément light si on choisit l’arepa « reina pepiada », la préférée des vénézuéliens : poulet, mayonnaise et fromage. Mais fort heureusement pour les tenants de l’équilibre alimentaire, l’arepa peut se décliner à l’infini !
Quoi qu’il en soit, l’intérêt commercial de l’arepa semble plus qu’évident : « prête en quelques minutes en mélangeant farine de maïs précuite et eau, l’arepa peut être remplie avec les ingrédients de son choix : des restes dans le réfrigérateur jusqu’à des préparations plus élaborées »comme l’indique La Presse Canadienne.
À Paris, l’un des précurseurs de l’arepa est le vénézuélien Luis Fernando Machado qui a commencé par un « food-truck » de gastronomie vénézuélienne en 2014 avant d’ouvrir son restaurant, qui prône « l’arepa power », dans le 9e arrondissement.
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