Le mois de juin constitue la dernière ligne droite pour le haut de la rue Nationale avec l’ouverture attendue des deux hôtels Hilton. Et un premier défi à relever : la privatisation totale du Garden Inn pour le Tour de France le soir du mardi 29 juin. Quelques personnes du Tour dormiront aussi à côté, au Hampton by Hilton. Juste en face des établissements, place Anatole-France, une grande roue verte a été peinte, visible des chambres. Tout doit être prêt et le sera pour la sixième étape du Tour de France, Tours-Châteauroux, le 1er juillet. Aux hôtels, l’heure appartient aux finitions, aux derniers réglages, mais aussi aux recrutements pour le groupe Naos, l’exploitant installé à Poitiers qui travaille tant avec le groupe Mariott qu’avec Hilton. Il dispose de plus de vingt hôtels en France.
Un restaurant au Garden Inn« Cette implantation à Tours n’a rien à voir avec le fait que notre siège soit proche, à Poitiers. Nos hôtels se trouvent à Bordeaux, à Paris, à Clichy, à Massy, à Strasbourg et Dijon. Les critères restent les mêmes : le centre-ville, une métropole dynamique, parfois un quartier d’affaires en rénovation, la proximité avec les gares ou aéroports. À Bordeaux, la clientèle est plutôt d’affaires, mais nous observons la part de loisirs devenir de plus en plus importante. À cause de la pandémie, ces deux
années ont été vraiment à part. De façon générale, nous ne nous focalisons pas sur une clientèle en particulier », explique Christine Reverchon, directrice du marketing et innovation de Naos.
Pour Tours, Naos a choisi deux enseignes correspondant aux attentes : Hilton Garden Inn et Hampton by Hilton. « Le Garden Inn dispose d’un restaurant, le Babette, une marque de concept store déposée de notre groupe, poursuit-elle. Nous travaillons sur les circuits courts, avec des produits frais, du fait maison et avons aussi notre boutique de produits éco-responsables, avec des objets déco et design made in France. Des ateliers, ouverts à tous, seront proposés sur des thématiques toujours liées à l’éco-responsabilité. Nous travaillons toujours avec les partenaires locaux, pour nous, c’est un gage de réussite. » (…) Lire la suite sur La Nouvelle République