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Décidément, il semblerait que l’hôtellerie soit le dernier terrain de jeu pour les leaders de  l’eatentertainment. Après Paris Society, Beaumarly et pourquoi pas, bientôt Moma ?

Contrairement à leur terrain de jeu initial qu’est la restauration, dans le domaine hôtelier, Gilbert et Thierry Costes ne créent en rien un nouveau modèle ou un nouveau segment comme le fit jadis, aux Etats-Unis, Ian Schrager, parti du Club 54  pour devenir le véritable créateur des boutiques-hotels (avec l’ouverture du Morgans Hotel in 1984).

Beaumarly ambitionne, avec ses hôtels, de prolonger l’expérience récréative et restauration que le Groupe propose dans ses restaurants en s’appuyant, à chaque fois, sur une décoration soignée et un emplacement de choix ou audacieux ainsi qu’une cuisine parfaitement exécutée.

« Beaumarly s’inscrit dans la restauration, l’hôtellerie parisienne et l’art de la brasserie internationale, avec l’ambition de l’esthétisme, des plus belles signatures de l’architecture, du design et de la gastronomie.
Beaumarly propose finalement, avant toute chose, un art de vivre à la parisienne.  » Source Site internet Beaumarly

En 2024, avec l’Aventure*****(24 clés), le Groupe « Beaumarly » de Gilbert et Thierry Costes inaugurera sa cinquième unité hôtelière après les hôtels Amour ( Grand Amour Hôtel Paris -43 clés-, Amour Paris -29 clés- et Amour Nice -38 clés-) et l’hôtel Thoumieux (15 clés).

Une particularité de taille : contrairement au modèle hôtelier classique, les hôtels étant ici le prolongement de l’activité restauration (toujours centrale dans ces établissements « lifestyle »), la direction de ces hôtels est souvent confiée à des collaborateurs fidèles issus, quasi exclusivement de la restauration et adeptes, eux aussi, de la discrétion (peu présents dans les associations professionnelles parisiennes ou sur les réseaux). Une discrétion qui a servi le modèle restauration « Costes » où la clientèle a toujours fait « l’équipe »  et le « branding », la réputation : les établissements Costes riment, pour les professionnels de la salle, avec une clientèle « select » et/ou médiatique synonyme de pourboires conséquents, ces éléments constituant le meilleur argument pour attirer les « talents ».

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